Comme promis par le Procureur général près la Cour de cassation, leur procès en flagrance a démarré ce mercredi 5 juillet. Ce procès démarre sans que deux personnes qui sont massivement citées par les internautes sur les réseaux comme membres non de moindre de cette bande, ne soient arrêtées.
Il y a parmi les personnes déférées des étudiantes, mais aussi des chauffeurs de taxi ou encore des criminels récidivistes. « Ce sont des bandes organisées, chacun a son rôle, un rôle à jouer. Ces gens se sont spécialisés dans le kidnapping, avait expliqué Sylvano Kasongo, le chef de la police de Kinshasa. Ils passent avec leur voiture, enlèvent les clients, les dépouillent et puis les relâchent. Parfois, ils leur demandent des rançons. Ils prennent les cartes de crédits, le mot de passe de la banque et ils prennent l’argent. »
A ce jour, les émissions sont allumées de partout sur les réseaux sociaux, une organisation s’est construite afin d’arriver à leurs fins dont l’objectif est d’inoncenter la tiktokeuse Éliane, étudiante en G2 à l’Ifasic.
D’aucuns affirment qu’elle serait la cousine de notre super star du football Neskens Kebano, d’autres parlent des billets verts qui auraient circulés pour la mettre à l’abri, semble-t-il, elle, étant la directrice en chef de la bande. Une cabale en préparation contre la condamnation de l’influenceuse et tiktokeuse Éliane par la justice congolaise, déjà présumée dans la bande de malfaiteurs.
D’après Scooprdc, Rien que par les témoignages de ces malfrats, l’on se rend compte que ces arrestations devront conduire à la déforestation pour connaitre ce qui se cache en réalité sous les arbres. Non sans raison, car ces « vulgus » qui ne sont en réalité que de rabatteurs ou de chasseurs, ne possèdent aucune compétence en chirurgie aussi pointue que la manipulation des organes qui, avant leurs transplantations, doivent être conservés en vie, même en dehors du corps humain.
Pour ce canard (scoop rdc), la Police a intérêt à ratisser large avec des enquêtes très poussées sur les entrées de matériels médicaux destinés au bloc opératoire, vérifier l’identité de chaque expatrié entré en RDC détenant une certaine compétence en chirurgie et surtout connaître leur emploi du temps et où et surtout pour qui travaillent-ils.
Ensuite le confrère renchérit en démontrant qu’aujourd’hui à Kinshasa, les hôpitaux indiens pullulent à travers la ville et Dieu seul sait s’ils sont bien contrôlés et si les services de renseignements ont un œil dans ces activités. Aussi, il n’est un secret pour personne que l’Inde est une plaque tournante pour le trafic d’organes.
Sans vouloir accuser qui que ce soit, il est important que les autorités revoient la façon d’octroyer des autorisations aux médecins étrangers surtout, d’ouvrir de cabinet en RDC, car la vie et la sécurité des Congolais en dépendent.
S’agissant de celui qui a fait le témoignage, il faut signaler il avait été arrêté à Makala, accusé de banditisme aggravé. Mais il venait d’être libéré fraîchement. Ce qui est gravissime, parmi les kidnappeurs, il y a un agent du secrétariat général de PTNTIC dénommé Niari Mambia Jean alias « Fashion », propriétaire d’une voiture IST « ketch » Jaune, avec vitres fumées.
En République démocratique du Congo (RDC), une trentaine de personnes soupçonnés d’appartenir à des réseaux de kidnappeurs sont devant la justice mercredi 5 juillet à Kinshasa, après avoir été déférée la veille devant le parquet.
Valentin Kabandanyi Kalenga