Après la publication de notre dernier article sur la mise au point de la plateforme Congo Fashion Week, deux des trente 30 mannequins concernés ont réagi pour apporter aussi leur version des faits. Les deux protagonistes (filles) ont réagi sous couvert d’anonymat à Arts.cd pour éviter, selon elles, que « leurs images de marque ne soient entachées».
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« Avec le tout le respect que j’ai pour Congo Fashion Week et sa fondatrice, nous n’avons jamais mentionné qu’elle a déjà perçu l’argent, mais plutôt nous martelons plus sur nos dûs. Parce que nous avons donné de notre temps, de notre amour et nous avons été très professionnelles, elle doit aussi nous rendre l’appareil », écrit la première intervenante. Et d’ajouter que le contrat a été signé avec Marie France Idikayi fondatrice du Congo Fashion Week (CFW) et non avec la présidence (parrain de l’événement) ni le Ministre de la culture, c’est sur base de quoi nous allons attendre ?», se pose-t-elle comme question avant de poursuivre que, « Si nous avions signé avec la présidence qui a parrainé cette édition là nous n’allions pas nous adresser à Congo Fashion Week», insiste cette mannequin figurant sur la photo à la Une.
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La deuxième intervenante à écrire à Arts.cd affirme que les mannequins n’ont pas fait circuler une rumeur et ils n’ont jamais dis que Congo Fashion Week avait reçu l’argent, mais écrit-eme, «Nous ne réclamons que nos dûs. Le contrat existe entre CFW et les mannequins. En tout cas, je ne suis pas d’accord sur ce post (article)».
«Aucunes informations n’étaient sûres (…)»