» Les États africains devraient savoir que la musique n’est plus seulement une spiritualité en partage, une incantation, un support mystique destiné à honorer les dieux, elle est un produit culturel, un facteur essentiel de développement économique, un » minerai sonore » désormais coté en Bourse. Qui devrait rapporter des milliards de dollars si l’Afrique décidait un jour d’organiser, pour elle-même, un marché de la musique cohérent, riche, rentable, si elle administrait convenablement sa législation, notamment en faveur des créateurs, tant au niveau national que sous-régional, tant au niveau africain qu’au niveau international « , écrit Manda Tchebwa, auteur et chroniqueur de la musique africaine, cité par Baya Ciamala/facebook.com