« Ipowania, Ipowania, Ipowania », voilà le refrain de la chanson de cette jeune chanteuse qui capte petit à petit les attentions des amoureux de la bonne musique.
Megane Nores surnommé la Reine de la Street de la lignée de Tabu Ley s’est ouvert à votre site pour en savoir un peu plus sur sa carrière d’artiste chanteuse.
Pour elle, la parité n’est l’égalité entre Homme et Femme. Focus sur le dernier produit du studio KinshaSound :
Nores Megane autrement dit « la reine de la Street » une artiste musicienne.
Racontes-nous l’histoire de votre rencontre avec la musique ?
Moi, la musique, c’est innée. J’ai des liens parentaux avec de grands noms de la musique congolaise. J’ai déjà fait 10 ans dans ma carrière musicale et cette année que j’ai mis sur le marché mon tube « Ipowania ».
Quels sont ces grands noms avec lesquels, vous avez des liens parentaux ?
Youssoupha, ya Peguy Tabu, puisque je suis aussi de la famille Tabu, voilà.
Dans votre premier titre « Ipowania », vous vous attaquez aux hommes ?
Mon inspiration part d’abord du ghetto puisque je suis vraiment la « Mama du Ghetto » avant de devenir « la Reine de la street ». Ce nom m’a été baptisé par le leader (allusion faite à DDT L’Empereur de KinshaSound). C’est là que j’ai trouvé cette inspiration avec un peu du folklore et les amis de mon orchestre « Château des artistes ».
Quel est contenu de cette chanson ?
Dans cette chanson, j’explique les réalités des femmes. Moi j’ai dit tout haut ce que les femmes pensent tout bas. Dans un autre angle, je suis ambassadrice des femmes pour défendre leurs causes. A l’intérieur je parle d’une réalité d’une femme fille qui souffre pour quelqu’un qui devrait l’aider dans sa vie. Ce genre de garçons qui se comporte en belliqueux s’ils se sentent incapable devant sa femme. Toutes les incompréhensions ont gâchés la vie de la jeune femme. Au fait cette histoire est une réalité d’une jeune chanteuse que j’ai racontée dans cette chanson.
Parlez-nous de votre répertoire, y a-t-il d’autres chansons intéressantes ?
«J’ai beaucoup de chansons, « Tout excès nuit », « Soda », « DDT bye », mais pour l’instant j’ai mis sur le marché « Ipowania ».
Après le festival Air d’Ici, que devons-nous attendre ?
Je suis focus pour affronter les médias avec un bon plan des émissions. Je suis aussi programmé au Festival RED ONE 2 qui se tiendra d’ici fin juillet à Plaza Village Limete. Nous sommes toujours dans la phase de mon maxi single « Vutuka Ba Yaya ».
Pourquoi « Vutuka Ba yaya » ?
Je suis l’ambassadrice des femmes. Dans ce maxi single, je m’adresse aux hommes puisque c’est eux qui tiennent tout. La parité moi, je m’en tape puisque ce n’est pas vraiment ça l’égalité mais ce sont les hommes qui doivent le sens au développement de l’humanité.
MM