
L’actualité n’attend pas. Cette fois-ci, ce sont les hommes dit de Dieu qui se donnent « des coups » devant le peuple de Dieu.
Fort est de constater que plusieurs congolais ont tendance à jeter dans un bénitier cette personne à gâchette facile, capable de passer au tranchant de l’épée ceux qui autrefois lui ont servi d’épaules.
Évêque Pascal Mukuna, puisqu’il s’agit de lui, le fait de citer le nom de cet as d’église vaut tout son pesant d’or.
Dans le labyrinthe où il vit, tout le monde est envieux, jaloux de sa réussite. Tout le monde est empli d’aigreur envers lui et mijote dans son officine l’idée de le dégringoler dans son fauteuil hautement perché tenant à son bec ce fromage tant convoité.
Ses sorties médiatiques avec ses pairs seraient plus éloquentes que moult discours pompeux. Les exemples sont légions; après Maitre Taureau d’heureuse mémoire, Antoine Musanganya, Mamie Tshibola, Joseph Kabila, caciques du FCC, Nsingi, Willy Mandala, Tshibala voire Edingwe , c’est le tour de son « petit » pasteur François Mutombo dit » Voici l’homme » de tomber dans le filet de l’Oiseleur. Le pauvre qui malheureusement n’a autre chose que sa langue brûlée pour prêcher les ouailles du Christ. Reussirait-il vraiment d’échapper belle cette crotte-crotte moineau avec toutes ses plumes ?, soliloque-t-on !
« Je cherchais le monde dans l’église »
En effet, ce n’est pas parce-qu’une personne dénonce l’injustice dans chacune de ses sorties médiatiques ou publications sur les réseaux sociaux qu’elle est foncièrement » Immaculée « .
D’ailleurs, à son ère de gloriole, Jerzinsky l’avait si bien dit » les gens ne sont vraiment innocents que lorsqu’on ne fouille pas assez ».
Cette politique d’auto-victimisation teinté d’un narcissisme qui ne dit pas son nom n’est pas chose nouvelle dans la société congolaise. D’ailleurs, La postérité du grand Kallé Jeff et Luambo Makiadi excellent dans de cas mieux que lui.
L’on remarquerait une personne après conception d’une idée, délibération, puis se décide de mettre du feu autour de lui et crier haro. Histoire d’appeler les gens vers lui pour qu’ils leurs fassent gober des bobards tels que , c’est X personne qui aurait mit le feu dans la brousse parce-qu’une tierce personne ne supportait pas sa tête.
Point n’est besoin de faire allusion sur Combien de fois celui que l’on surnomme Grand Mopao Agbada a créé des polémiques à ses pairs puis s’en aller tout bonnement au studio, concocter une chanson ayant comme titre » Phaseur, Esclave…. » d’où il se plaint que tout le monde ne l’aime pas. Mieux, que s’il ne serait pas lui, il aurait aussi été jaloux de lui ? Mukuna, est-il sur le pas des artistes que les chrétiens ont toujours qualifier de mondain ? Y-a-t-il lieu de fredonner ici, » J’ai cherché le monde, je l’ai trouvé dans l’église , Confusion de Ngoyi Musoko Patrice ?
L’évêque Pascal Mukuna n’a jamais reconnu que l’erreur est inhérente à la vie humaine.C’est toujours les autres qui sont des méchants dans son film. Et lui, l’Éternel victime.
Attendons voir jusqu’où va aller leur échauffourée avec un de ses poulains d’antan François Mutombo qu’il reproche de mûrir des idées sous marines. Dit-il vrai ? A-t-il des preuves qui sautent aux yeux ? Devons-nous rappeler ici que Pasteur Mutombo doit une partie de sa vie pastorale au président à vie du Fc Renaissance ? Déjà, avec cette philosophie sartrienne d’enfer c’est les autres qui a longtemps élu domicile dans le chef de celui qui s’est toujours voulu » l’homme du retour à la parole » , Ça sent mauvais dans l’air, un ping-pong évangélique plane dans ce dossier.
Les faits se succèdent mais ne ressemblent toujours, puisque l’enfer n’est pas toujours les autres.
Youricia’s Padre