Il est reproché au studio Kinshasound d’enregistrer les chansons obscènes des DJ. De ce fait, la lettre du procureur général de la république instruit la commission nationale de censure de vérifier les taxes et redevances payées par cette structure qui engage et aide plusieurs jeunes musiciens. Et elle l’autorise à sceller.
A (ré)lire : Un jour à l’empire, Kinshasound
Voici la réquisition d’information :