mercredi, décembre 11
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Inauguration du Centre Culturel et artistique de l’Afrique centrale

Étiquette : afrobeat

El Weezya, le lieutenant FVicteam et la polémique « Yo nani »
MUSIQUE / DANSE

El Weezya, le lieutenant FVicteam et la polémique « Yo nani »

L’artiste musicien de la ville de Goma, El Weezya Fantastikoh, a signé depuis maintenant 7 mois dans le label F’Victeam de la star Fally Ipupa. Dans une interview exclusive accordée à www.arts.cd, cet artiste qui a plus de 10 ans de carrière solo est revenu sur les coulisses de sa signature dans cette maison de production, mais également sur la polémique qui entoure sa dernière sortie, "Yo Nani". « C’était en 2019 au mois de février qu’on s’est vu avec Fally Ipupa à Goma », commence par se souvenir ce musicien natif de la ville touristique de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu. « C’était dans le cadre du festival Amani. On s’est vu et il m’a demandé de lui faire écouter certains de mes titres. Il a apprecié à juste valeur et m'a proposé de collaborer dans le but de travailler ...
« +243 », un album instrumental des sonorités congolaises !
MUSIQUE / DANSE

« +243 », un album instrumental des sonorités congolaises !

« La philosophie de cet album est de permettre aux congolais entre eaux d’écouter leurs sonorités en accordant une place de choix aux instruments et instrumentistes », c’est cette déclaration qui caractérise la motivation de Michel Ngongo, musicologue et auteur de l’album «+243», sa deuxième œuvre du genre, après «Réflexion» sorti en août 2018. Cet album instrumental « +243 » contient 10 titres tous basés sur la musique congolaise. Dans la chanson «Kin Nostalgia », professeur Michel Ngongo revisite les musiques seben des années 60 jusque vers 80, 90, qui est pour lui un rappel historique des pionniers du ndombolo tels que Manuaku Waku Pépé Felly. Selon lui, ce retour ne vise qu’à situer les générations actuelles qui accordent plus d’importance aux machines qu’aux hommes pour produire des ...
Le rap français et la RDCongo, une histoire d’amour !
MUSIQUE / DANSE

Le rap français et la RDCongo, une histoire d’amour !

De Maître Gims à Youssoupha en passant par Gradur, Damso, Dadju, Naza, Keblack, Shay, la musique française a subi depuis les dix dernières années un impact d'artistes français d'origine congolaise qui, aujourd'hui, dominent la musique française. Le rap est une musique des mélanges des blues et de jazz venus des Etats-Unis précisément à New York. Arrivé en France dans les années 80' par les djs et les MC, le rap est aujourd'hui la musique numéro 1 de France, la musique la plus écoutée dans toute la France et la deuxième au monde. Le rap français a aujourd'hui évolué et a été diversifié grâce notamment aux rappeurs venus d'autres cultures qui ajoutent leur touche dans le rap pour y donner une nouvelle couleur. A (ré)lire: Derrière Djuna se cache aussi Dadju Les ivoiriens, togola...
Dj Amaroula signe son retour sur scène avec  » Likolo »
MUSIQUE / DANSE

Dj Amaroula signe son retour sur scène avec  » Likolo »

Trois années se sont écoulées depuis que l’une des figures de disc-jokeys congolais s’était éloigné de la scène vivante. En featuring avec Dj P2N de Lubumbashi, Patrick Bizimungu dit "Dj Amaroula" lance un single intitulé « Likolo » (En haut) sur les plateformes de téléchargement digital. Son festif et saccadé sur lequel les deux djs s’ambiancent avec des paroles d’animation, « Likolo » est aussi ce titre qui annonce l’arrivé prochain de l’album « Morsure de cobra » qui va contenir 7 titres. https://www.youtube.com/watch?v=BVM7S5_LMrU Pour Dj Amaroula, les 3 ans de passage à vide l’ont servi à se ressourcer pour apporter une énergie nouvelle dans la musique congolaise et dans le domaine de Djs en particulier. « Un artiste musicien doit aussi poser des gestes sociaux pour pouvoir c...
« les États africains devraient savoir (…) la musique est un minerai sonore coté en bourse »
LIBRE OPINION

« les États africains devraient savoir (…) la musique est un minerai sonore coté en bourse »

" Les États africains devraient savoir que la musique n'est plus seulement une spiritualité en partage, une incantation, un support mystique destiné à honorer les dieux, elle est un produit culturel, un facteur essentiel de développement économique, un " minerai sonore " désormais coté en Bourse. Qui devrait rapporter des milliards de dollars si l'Afrique décidait un jour d'organiser, pour elle-même, un marché de la musique cohérent, riche, rentable, si elle administrait convenablement sa législation, notamment en faveur des créateurs, tant au niveau national que sous-régional, tant au niveau africain qu'au niveau international ", écrit Manda Tchebwa, auteur et chroniqueur de la musique africaine, cité par  Baya Ciamala/facebook.com