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Tous derrière les FARDC

Zoom: L’artiste Shay, « Bèbè Nationale », s’apprête à larguer « Pourvu qu’il pleuve »

Après son premier album en 2016 « Jolie garce » certifié disque d’or, l’artiste belgo congolaise Shay se prépare pour sortir un autre album, « Pourvu qu’il pleuve ».

Connu pour son rap pur et son ouverture à d’autres styles de musique avec une dose parfois de sensualité, Shay est prête à aller à la conquête d’une nouvelle aventure.

Habillée d’une robe moulante noire, devant une couleur rouge sombre tamisée et dans une attitude inquiète surtout de questionnement, Shay dévoile, dans ce visuel, les tendances de cet album; une part belle à l’amour.

Alors, Pourvu qu’il pleuve des tubes dans les oreilles des amoureux de la bonne musique.

Kinshasa, son autre ville !

De son vrai nom, Vanessa Lesnicki, surnommé à Kinshasa, la Bèbè nationale ou la cousine du peuple, Shay est attendue à bras ouvert.

La Cousine du peuple est issue d’une grande famille musicale congolaise. Petite fille de Seigneur Rochereau Tabu Ley et nièce de lyriciste bantou Youssoupha, Shay, qui est né en Belgique, a la République Démocratique du Congo dans son âme. La montée figurante de sa carrière l’atteste. Des chansons à succès telles que « Jolie go », « Commando », « Sans coeur » en feat avec le rappeur Niska originaire du Congo Brazza, ne vont pas l’encontre de cette réalité.

Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, se mobilise comme ville créative pour accueillir la sortie de cet album « Pourvu qu’il pleuve  » prévu le 19 janvier prochain sur les plateformes digitales de téléchargement.

Le visuel de l’album  »Pourvu qu’il pleuve » de Shay

Shay (surnom acquis auprès de son grand-père Tabu Ley, signifiant Lumière) a fait sensation aussi à travers « Antidote » qui remonte à 2019, et l’annonce de l’album « Pourvu qu’il pleuve » est une baume de soulagement auprès, avant tout, de ses fans et une bonne découverte pour les autres consommateurs de la bonne musique.

Pluie étant signe de bénédictions et d’abondance dans la tradition africaine, « Pourvu qu’il pleuve » est un symbole avant coureur d’un succès retentissant d’une oeuvre qui traversera les frontières.

(Dossier à suivre)

Onassis Mutombo

 

 

 

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