Sous le thème « la route de la rumba », Ce festival incarne notre volonté de mobiliser les forces culturelles et créatives de la nation pour le retour de la paix en RDC », a dit Félix Tshisekedi lors de l’ouverture, ce 16 juillet au Centre culturel et artistique des pays de l’Afrique centrale.
Et d’ajouter que, « « Ce festival ouvre une page où la culture et le tourisme se conjuguent au service de la paix, du vivre-ensemble et du développement durable de la RDC».
Pour sa part, le ministre du Tourisme, Didier M’Pambia, a rappelé que « l’industrie touristique en RDC constitue un puissant levier de lutte contre la pauvreté, un symbole de l’employabilité potentielle, ainsi qu’un facteur d’inclusion sociale et économique pour les populations vulnérables ».
De son côté, Yolande Elebe, ministre de la Culture, a affirmé : « Il s’agit, à juste titre, de reconnaître la culture comme le socle fondamental de toute politique publique cohérente ».
Festival mondial de la Musique et du Tourisme qui a débuté ce mercredi 16 juillet, va fermer ses portes le 18 juillet prochain.
Cet événement se veut un carrefour d’échanges, un pont entre les cultures du monde, une célébration de la diversité comme levier de paix et d’harmonie entre les peuples.
«Ce festival incarne pleinement notre volonté de mobiliser les forces culturelles et créatives de la Nation pour raffermir l’unité nationale et projeter avec fierté et ambition une image renouvelée, positive et inspirante de la République démocratique du Congo sur la scène internationale.
Cette édition pilote prévoit une gamme variée d’activités culturelles notamment concerts, expositions sensées jouer un rôle fondamental comme levier de paix, de dialogue interculturel et de rapprochement entre les communautés, quittant les passerelles.
Trois sites accueillent ce festival : L’Échangeur de Limete, le Centre culturel et artistique pour les pays de l’Afrique centrale et l’Esplanade du Palais du Peuple.
Le programme prévoit la prestation de plusieurs artistes. Seuls les nationaux sont connus, les noms des artistes des autres pays se font attendre jusque-là.
Henock Kalala