
Kinshasa, capitale de la RDC va vibrer du 16 au 18 juillet au rythme du Festival mondial de la Musique et du Tourisme. Lors de la conférence de presse du jeudi 15 mai, le ministre du Tourisme, Didier M’Pambia a présenté cet événement comme une vitrine, qui va contribuer à la construction de l’image positive de la RDC et promouvoir ce binôme comme vecteur de paix, de dialogue, interculturel et le développement économique inclusif.
Cet événement de portée mondiale vise à mettre en lumière les puissants soft power du pays de la Rumba. Et ce, à travers quatre activités importantes : les forums, performances musicales, concerts, soirées thématiques, un village culturel où les spectateurs vont découvrir non seulement la gastronomie, l’Arts, les parcs nationaux, les sites touristiques du pays et bien d’autres potentiels du pays.
Pour le ministre Didier M’Pambia, ce festival qui découle de la vision du président Félix Tshisekedi compte replacer la RDC sur la carte touristique du monde et faire du tourisme, un levier important de la diversification économique du pays.

«Il est important que le monde arrête de regarder la RDC à travers le prisme de trois provinces qui traversent une crise et nous l’espérons est arrivé à son échéance», a interpellé le patron du tourisme, qui compte changer le narratif tourné vers la RDC, une meilleure destination d’Afrique.
Pour y parvenir, «la RDC a besoin de guérir par l’image», a-t-il dit, conseillant à chacun de ses concitoyens «à fabriquer quotidiennement des images positives pour déconstruire la tour des narratifs négatifs». Pour ce qui par exemple, des embouteillages à Kinshasa, il a promis de trouver des solutions propices afin de les échapper, renforcer la sécurité , etc.
Henock Kalala



