
A l’ère de la digitalisation de consommation des chansons et vidéos, les artistes, auteurs, chanteurs, musiciens et interprètes évoluant en République démocratique du Congo, n’y dépassent pas souvent la barre de 100 millions de vues sur Youtube.
Alors que la musique fait partie du Patrimoine de la RDC, un pays qui compte, d’après la banque mondiale 99,01 millions d’habitants. Seuls le clip « Yope » de Innoss’b en remix avec Diamond, a cumulé 227 millions de vues après quatre ans sur ce support. EN suite, « Eloko » de Fally Ipupa qui atteint 100 millions de vues en mai 2024, publié il y a six ans.
De nombre de vues qui se discutent par rapport à l’audience, à l’influence et à la célébration de la musique que produit les artistes et gospel dans l’étendue de la République.
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La plateforme YouTube qui consiste à visionner des vidéos, s’applique généralement par des téléphones smartphone et ordinateurs.
La procédure qui ne sourit une grande partie des ndulemanes au Congo, pour consommer directement les clips.
À en croire le résultat de l’enquête menée par l’institut de sondage Target daté de 2021, révèle au moins 50 % de congolais possèdent un Smartphone « 49.9% des Congolais seulement possèdent un Smartphone contre 50.1% qui n’en ont pas.
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En même temps, la RDC connait un taux de pénétration de l’internet de 17,6% de la population globale. Ce qui constitue un bond de 25,4% entre 2021 et 2022, selon un des rapports Kepios. Ces chiffres d’utilisateurs révèlent que 77,29 millions de personnes, soit 82,4% de la population du pays n’était encore connecté en ce temps-là. Les parties couvertes sont essentiellement les grandes villes telles Kinshasa, Lubumbashi, Goma, Kisangani, Matadi, etc.
La RDC qui reste un pays aux diversités culturelles, d’où la musique est la plus exploitée depuis des illustres, les artistes renommés bénéficient plus au revenu des productions de concerts, événements, festival et playback.
Peu importe la célébrité autour Gaz Mawate, Moïse Mbiye, Dena Mwana, Gally Garvey, Héritier Watanabe, Mike Kalambay ou encore MPR, leur popularité ne s’exprime pas sur les ventes de leurs œuvres suite à une faible consommation des fans via le support approuvé.
David Ekutshu