La 4ème édition de la Foire des femmes des médias a eu lieu ce vendredi 24 mars 2023, à Béatrice hôtel, sous l’initiative de l’association congolaise des femmes de la Presse-Ecrite (ACOFEPE).
Cette rencontre entre les femmes des médias a consisté à renforcer les capacités des ces dames de la presse et promulgatrices de l’information, surtout en cette période des élections que traverse la République Démocratique du Congo.
D’où la thématique: « Participation des femmes des medias aux processus de résolution des conflits et maintien de la cohésion sociale pendant la periode électorale: Apport des technologies de l’information ». Ces échanges se sont déroulés en présence du ministre du numerique, Desiré-Cashmir Kolongele et des membres partenaires à la structure organisatrice notamment l’Internews, la coopération suedoise et l’USAID.
Selon la Présidente de L’ACOFEPE, Grâce Ngyke Kangundu, le numérique (Réseaux sociaux) doit être un milieu de partage d’expérience pour les femmes des médias en vue de faire régner la paix en République Démocratique du Congo, étant donné que ces dernières jouent un rôle très important dans le changement des défis majeurs en RD-Congo.
Ainsi, deux panels ont été organisés au cours de cette journée pour elargir les connaissances des journalistes sur l’utilisation du numérique. Le premier a porté sur « La discrimination en ligne à l’égard des femmes des médias » et le second a mis l’accent sur « L’opportunités créées par les technologies de l’information pour les femmes des médias ».
Outre de son côté informatif, le numérique permet également aux actrices de ce secteur d’étendre leurs champs de travail et de recherche aux moyens des différentes applications que leurs offrent les spécialistes en matière technologique.
Retenons par ailleurs que l’association congolaise des femmes de la presse-écrite est une plateforme qui promeut les statuts des femmes des médias en RDC.
Le choix de ce moment pour ces échanges et apprentissage est aussi un moment aisé pour renforcer les capacités de ces femmes à la prise de conscience et surtout s’assumer pleinement dans leur rôle en tant qu’historienne du présent. Ce moment s’est achèvé dans une ambiance à la fois riche et cohérente.
Plamedie Mbenza