mercredi, mars 26
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Tous derrière les FARDC

Journées de la femme: «Je me relève, oui c’est possible », Esther Musawu redonne de l’espoir aux filles-mères de Matete

Venues de tous les coins de la ville province de Kinshasa, les filles-mères ont été édifiées à travers une conférence avec comme thème : « je me relève, oui c’est possible », ce mardi 8 mars au quartier vitamines dans la commune de Matete.

Trois temps forts ont marqué cette manifestation, d’abord la présentation de la Fondation, l’allocution de la présidente Esther Musawu et enfin les témoignages des filles mères et remise des cadeaux. Parlant de la présentation de la Fondation, « la vie » est une école d’encadrement et un centre d’appui aux filles-mères pour une reinsensertion sociale réussie », a dit le vice-président de cette ASBL,

Ensuite la présidente de la Fondation a de son côté parlé avec son cœur aux jeunes filles, pour leur dire la main sur le cœur que  » tomber, vous l’êtes déjà et ceci est vu inhérent à toute personne humaine, mais se mettre debout relève de la dynamique des héros ».

« La vie est faite de choix : Oui ou Non ;
Continuer ou Abandonner ; Se relever ou
Rester à terre… Certains choix comptent
plus que d’autres : Aimer ou Haïr ; être un Héros ou un Lâche ; Se battre ou Se rendre ; Vivre ou Mourir… Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore: la vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement », ajoute-t-elle.

Esther Musawu a insisté sur trois points
à sa savoir, la prise de conscience, l’acceptation de sa condition et enfin prendre la décision de devenir ce que l’on a toujours souhaité être. Et à cela, il faut ajouter Jésus Christ !

Le dernier temps fort était les témoignages d’autres filles qui ont mis en pratique plusieurs stratégies pour aujourd’hui devenir utiles à la société.

Notons que la manifestation s’est clôturée autour d’un repas, dans une ambiance de fête avec la remise des cadeaux aux filles mères dont les pagnes, jouets et autres objets que la fondation avait réservé pour la circonstance.

Valentin Kabandanyi Kalenga