Pour une réforme de la gestion des droits d’auteurs en RDC
Devant ces énièmes soubresauts à la Socoda, un constat s'impose : il faut une fois pour toute arrêter avec le dilettantisme dans la gestion des droits d'auteurs en RDC.
La culture congolaise, en particulier la musique, dispose d'un énorme potentiel en terme de droits d'auteurs. C'est un patrimoine immense dont la gestion ne doit pas être laissée aux artistes comme c'est le cas aujourd'hui.
En effet, ces derniers n'ont pas vocation à être des gestionnaires de patrimoine, ils n'en ont pas à priori les compétences.
Le fiasco de la fameuse Socoda et de son prédécesseur, la Soneca, sont là pour nous le prouver.
En France la SACEM n'a jamais été dirigée par Johnny Hallyday ou Michel Sardou, idem aux USA et ailleurs où les artistes ne sont pas mêlés à la gestion exécutive des droits d'auteu...







