mercredi, octobre 16
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Tous derrière les FARDC

Carton plein pour Ronsia au Marrakech du rire !

Le jeune humoriste congolais a  réussi son spectacle au Palais Badhii de la ville de Marrakech au Maroc pour le compte de la 8eme édition du Marrakech du rire. Meilleur jeune humoriste africain plébiscité par la radio RFI, Ronsia Kukielukila a  présenté aux marocains quelques tiques du quotidien congolais pendant le déroulement du Marrakech du rire Gala Afrika, qui est une soirée consacré aux humoristes venus essentiellement de l’Afrique subsaharienne.

extrait du show: ici

Dans ses vannes,  le jeune de Kinshasa n’a pas hésité d’établir la différence entre les mères européennes et africaines. Dans son récit,  il n’a pas hésité d’imiter Jamel Debouzze et le public marocain, connu pour son sens critique, a apprécié et applaudi vivement  sous les cris de la communauté congolaise composé essentiellement des étudiants. D’ailleurs, un hommage a été rendu aux congolais en accueillant ce meilleur jeune humoriste africain avec un grand drapeau congolais qui a décoré le mur traditionnel du Palais Bahdii.

Rendez-vous de rêve des humoristes africains,  Marrakech du rire est une référence des festivals de l’humour en Afrique.  Reparti en diverses scènes, ce festival a connu la participation de plusieurs humoristes qui sont venus du monde entier notamment Digbeu,  Adama,  Gohou,  Agalawal, Ronsia kikuelukila,  Digbeu, Omar Defunzu, les Zinzins de l’Art, Joël,  Manitou, Markus …

«Être invité  au Marrakech du rire est une très belle opportunité et honneur pour moi. L’on doit  se le dire,  cela est un très grand événement et un grand festival du rire en Afrique, puisqu’il occupe la première position, c’est ce qui me fait chaud au cœur. C’est une très belle vitrine du monde qui nous s’ouvre des portes des managers du monde entier », a déclaré l’artiste.

Issu de la Team Toseka du Festival International de l’humour de Kinshasa, Toseka initié par Ados Ndombasi, l’humoriste Ronsia Kukielukila encadre et forme des étudiants de l’Institut National des Arts dans son collectif Salop’Arts.

Onassis Mutombo et Sarah Lukoji

 

 

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