L’histoire est têtue. Il est temps de raconter à l’humanité la part considérable de la femme congolaise dans le processus de l’indépendance de la RDC. Vaux mieux tard que jamais. « Celui qui mange les cacahouètes sous l’eau ne se cache pas ». Il y a des pères de l’indépendance, Oui, mais des mères aussi.
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