dimanche, novembre 23
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Tous derrière les FARDC

Étiquette : culture congolaise

Fikin : L’auteur du célèbre monument réclame ses droits !
ARTS VISUELS

Fikin : L’auteur du célèbre monument réclame ses droits !

André Lufwa, concepteur et sculpteur du batteur de tam-tam symbolisant la foire internationale de Kinshasa (FIKIN), même à 96 ans, continue à revendiquer ses droits d'auteurs. Au micro d'Eventsrdc.com, M.Lufwa s'est lamenté que depuis 1969, l'année même de la confection de ce chef-d'œuvre, l'État congolais n'est lui a jamais gratifié. Il a tout de même avoué qu'en 1997, il a été reçu par feu président de la république, Laurent Désiré Kabila, qui selon lui, l'avait donné de l'argent de ses propres poches. "Et pourtant, je suis membre de l'actuelle SOCODA et même de l'ancien SONECA depuis sa création en 1969", a t-il argumenté avant d'enchaîner,  jusque là, j'attend d'être rétabli dans mes droits. Je demande au gouvernement de s'investir pour que cela soit effectif, car l'artiste doit...
La Présidence disposé à soutenir l’inscription de la rumba au patrimoine mondial !
MUSIQUE / DANSE

La Présidence disposé à soutenir l’inscription de la rumba au patrimoine mondial !

C'est sur le compte Twitter de la porte-parole adjointe du Président de la République que cette annonce a été faite le 18 mai dernier. Tina Salama a confirmé que " La Présidence de la République soutiendra toute action visant à inscrire la rumba congolaise au patrimoine mondial culturel de l'humanité". Cette nouvelle est un signal fort que Félix Tshisekedi vient de donner dans le domaine culturel congolais. Lancée depuis 2016, la lutte pour l'inscription de la rumba congolaise au patrimoine mondial Culturel immatériel de l'humanité est un projet initié par l'Institut National des Arts (INA) en collaboration avec certains partenaires notamment l' UNESCO RDC et le Centre Wallonie Bruxelles. Aussi, cette démarche que le Gouvernement congolais s'en est approprié, a été repris dans le mémor...
« Les femmes de Pakadjuma », le récit poignant de Ange Kasongo !
LITTERATURE

« Les femmes de Pakadjuma », le récit poignant de Ange Kasongo !

Dans ce livre de 106 pages, Ange Kasongo Adihe raconte ce qu’elle a, elle-même, vu, entendu, senti et ressenti dans l’un des quartiers célèbres et atypiques de la ville de Kinshasa. Publié aux éditions du Pangolin, « Les Femmes de Pakadjuma » résume le constat de l’auteure et les témoignages recueillis dans ce bidonville de près de 10 milles âmes situé à moins de 15 minutes de la Gare Centrale. « Son envie de raconter l’histoire des femmes de Pakadjuma vient aussi du besoin pressant de casser les clichés véhiculés par certains habitants de Kinshasa à propos de ce quartier qu’ils ne fréquentent pourtant pas », écrit Ange Kasongo Adihe (P10). Pour mieux illustrer son ouvrage, l’auteur a crée un personnage fictif nommé Ophélie, qui, après avoir passé 10 ans en France pour des études, dé...
Trace Kitoko, c’est parti pour l’aventure congolaise !
MUSIQUE / DANSE

Trace Kitoko, c’est parti pour l’aventure congolaise !

C’est officiel. Après son apparition près d’un mois déjà sur la chaine 131, Trace Kitoko vient d’être lancé au cours d’une conférence de presse tenue au Fleuve Congo Hôtel qui aussi servi de cadre à Elvis Adidiema de diffuser le documentaire sur l’histoire de Papa Wemba.  En présence des artistes et autres opérateurs culturels, Olivier Laouchez, Directeur Général, réconnait que « Ce Moment important pour la musique congolaise. C’est l’aboutissement d’un projet qui est né loin de l’Afrique. Je suis heureux de vous présenter Trace Kitoko qui est l’un de vos médias. L’’idée derrière est de redonner à la musique congolaise sa place sur la scène panafricaine à travers une plateforme de visibilité internationale», dit-il avant de demander aux autorités nationales de soutenir les artistes pour...
De « Mushi » à Lutumba Simaro : Quand une page d’histoire fauche une autre !
MUSIQUE / DANSE

De « Mushi » à Lutumba Simaro : Quand une page d’histoire fauche une autre !

« Si un lecteur pouvait prendre chaque page lue, l’arracher, la froisser et la jeter dans la poubelle, que deviendrait le livre ? », s’interroge un homme de culture. En effet, à l’occasion de ses 80 ans d’âge et 60 ans de carrière, le poète Lutumba Simaro Masiya avait émis le vœu, depuis le mois de janvier 2018, de voir la célèbre avenue de la commune qui l’a vu grandir, celle de Lingwala être débaptisée pour porter son nom. Et c’est ce qui a été fait officiellement depuis ce lundi 19 mars 2018. Donc, l’avenue Mushi devient Lutumba Simaro. Mais derrière cette débaptisation, c’est une page d’histoire d’une ville, mieux, d’une nation qu’André Kimbuta jette dans les oubliettes. Les réactions n’ont pas tardé sur les réseaux sociaux.  « Pourquoi débaptiser des avenues qui font partie ...