Propos d’Antonio GUTERRES @antonioguterres, Secrétaire général des Nations unies, au 16e Sommet des BRICS qui se tient à Kazan en Russie : « La COP29 offrira de nouvelles possibilités de financement.
Les pays développés doivent honorer leurs engagements en doublant le financement climatique et en fournissant des fonds pour les pertes et dommages causés à l’humanité. »
La RDC @Presidence_RDC en tant qu’acteur parmi les plus importants au monde qui apportent des solutions dans la lutte contre le changement climatique qui affecte gravement notre humanité, il est essentiel que nous puissions avoir une branche de la diplomatie climatique dans notre politique étrangère, comme un puissant levier pour suivre minutieusement de plus près et faire entendre la voix de la RDC dans tous les processus des négociations internationales sur le changement climatique, à la fois dans le cadre de la CCNUCC et au-delà, mais également pour développer une coopération climatique internationale efficace avec les différents pays puissants du monde qui ont une « responsabilité historique » sur le réchauffement climatique mondial, afin de bénéficier aussi bien des ressources financières et techniques nécessaires pour développer des projets qui permettront à notre pays d’atténuer les impacts et de s’adapter aux effets du réchauffement climatique toujours croissants.
C’est du succès de notre diplomatie climatique que dépendra en fin de compte de la reconnaissance internationale de l’apport de la RDC à relever les défis climatiques auxquels est confrontée l’humanité et ainsi espérer recevoir une juste contrepartie de notre contribution.
Isidore KWANDJA NGEMBO
Auteur du livre : « Régime international des droits de l’homme à l’épreuve du climat : cas de l’État Insulaire des Maldives », aux Éditions universitaires européennes en 2019.