
Chasper Sarott, Ambassadeur de la Suisse accrédité en République Démocratique du Congo, a réitéré son soutien dans l’organisation du concours de dictée initié par l’Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Ecrite (ACOFEPE), qui s’organise le 20 mars de chaque année sur l’ensemble de la République à l’occasion de la commémoration de la journée internationale de la francophonie. Ceci ressort de l’audience que le l’ambassadeur Chasper a accordé,ce mercredi 30 novembre 2022, dans son cabinet de travail, à la délégation de membres du comité exécutif de ACOFEPE ,qui est une structure qui œuvre dans le but de promouvoir la langue française et stimuler le goût de la lecture auprès des élèves , mais également pour la revalorisation du statut des femmes spécialisées en presse écrite. Les discussions entre l’ambassadeur Suisse au poste à Kinshasa et la délégation de ACOFEPE ont été portées sur l’organisation de la quatrième édition du concours d’orthographe dénommé « Une Écriture sans Faute », qui aura lieu le 20 mars prochain sur l’ensemble du territoire national. La présidente de l’Association Congolaise des Femmes Journalistes de la Presse Ecrite, Grâce Ngyke Kangundu a à la sortie de cet entretien venté les objectifs de ce concours.
<Ce concours de dictée a pour but principal de réconcilier les élèves avec l’usage de la langue française, les stimuler à la culture de la lecture pour une amélioration de leur écriture ainsi que promouvoir le bon usage de la langue française chez les lycéennes par ce jeu de la dictée>> a-t-elle indiqué. Et de renchérir <<A travers ce concours, l’ACOFEPE veut redonner le goût de la lecture à la nouvelle génération, censée de diriger la société dans les prochaines années ».
Grâce Ngyke Kangundu a par ailleurs, invité l’ambassadeur de la Suisse Chasper Sarott, à prendre part à la conférence webinaire qu’elle organisera, le 15 de ce mois, à Kinshasa , avec l’appui de l’Unesco en vue de mener un plaidoyer pour l’obtention de la consécration de la journée internationale de la presse écrite.
Mathieu Kayemba