« Ooh libala, libala, esengo n’a Nzambe, oooh libala y’a boye, esengo n’a likolooo … », l’auteure et chanteuse de ce classique de la musique chrétienne sortie vers les années 90 vient de tirer sa révérence ce mercredi 15 décembre 2021.
L’information a été confirmé par Franck Mulaja, son collègue musicien chrétien sur son compte Facebook reconnaissant une dame au grand cœur et qui a passé toute sa vie au service de l’éternel Dieu.
Maman Théthé Djungandeke, soixantaine révolue , apprend on des sources dignes, souffrait d’une longue maladie qui ne l’a pas laissé survivre. « Célibat Ekweyi » est son titre qui continuera à raisonner dans les mémoires des amoureux de la musique congolaise.
A l’ère de la Rumba comme élément de la liste représentative des patrimoines culturels immatériels de l’humanité, les titres comme « Célibat Ekweyi », « Il est là »,… de Théthé Djungandeke mérite aussi d’être intégré parmi les chansons qui ont placées la rumba congolaise dans le panthéon. Puisqu’à ce jour, « Célibat ekweyi » est pour les fêtes de mariage ce que l’hymne « Debout congolais » est pour la RDCongo.
Paix à son âme, l’artiste.
Onassis Mutombo