Que retenir de King Kester 4ans après ?
Le King Kester a révolutionné son art de fond en comble... D'abord, Kester, c'est la voix! Grâce à un large spectre vocal, il pouvait passer de la deuxième «kundelungu» ou «grand nkombò» de Pépé Kallé ou de Mopero, à la voix flûtée de Papy Tex (comme dans «Afimiko») sans la moindre fébrilité, en passant par les nuances de Wendo (dans «Cigarette», «minkolo na minkolo...»)...
Ainsi fallait-il faire preuve de beaucoup de tact pour chanter avec lui, car tout en restant sur son registre vocal, il pouvait faire des modulations (le fameux chant pentatonique) au point de désorienter ceux avec qu'il chante... C'est en observant le jeu aérien des pilotes des avions de chasse de Sukisa qu'il a eu le déclic... C'est ainsi avec ses nouvelles recrues de Victoria Dream Team qu'il a instauré le «kimvuk...