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Tous derrière les FARDC

Exclusivité: Hiro le Coq lance son opus « De la haine à l’amour ! »

 

 Revenu, pour la première en RDC, en 2014 avec le Bana C4, Hiro Le Coq est resté depuis attaché physiquement à ses origines congolaises. Auteur des deux tubes emblématiques « aveuglé », « touché coulé », ancien leader Bana C4 qui est à Kinshasa pour un concert au Shark Club, a accordé une interview exclusive à votre portail numérique des arts en RDC.

« A Kinshasa, je suis chez moi. Je suis très fier d’être dans mon pays. D’ailleurs, je suis venu avec mon père pour la première fois en RDC. Ç’a toujours été un plaisir de revenir chez moi. Toujours bien accueilli à l’aéroport. Revenir en RDC, c’est une ressource pour moi », a confié Hiro accompagné de son ami Keblack.

Hier leader du groupe de Bana C4, actuellement vous évoluez en solo, comment définissez-vous ?

Je me définie comme un artiste qui est évolue actuellement en carrière solo qui fait partie du groupe Bana C4. Voilà, je serai toujours Bana C4, pour le moment, je me présente comme artiste solo. Je ferai toujours des titres de Bana C4. Mon premier album sort 27 octobre 2017 « De la haine à l’amour ». Ça sera du Hiro comme vous avez l’habitude de l’attendre.  On va ramener la touche de gospel, un peu plus de la rumba, beaucoup de lingala. On va essayer au maximum de faire plaisir à ceux qui nous soutiennent depuis le début. Avant tout, je suis artiste qui fait de la musique bientôt  10 ans. J’ai commencé avec un groupe et en carrière solo aujourd’hui.

 « Entêté » et « touché Coulé », deux sons qui cartonnent, quelle est votre touche spéciale ?

C’est de l’afrobeat.  J’ai un fort amour pour mon pays, pour ma patrie. J’essaye d’ajouter toujours ma guitare de la rumba congolaise en deux temps,… j’essaye de faire d’afrobeat à la congolaise.

A part la sortie prochaine de votre album, pensez-vous aussi aux actions sociales en RDC ?

Oui, comme je l’ai dit, l’album sort le 27 octobre. Oui, ça me tiendra à cœur de faire une fondation pour œuvrer dans le social ou de venir en aide aux plus démunis. Aujourd’hui, nous les artistes, on a un certain pouvoir, il faut savoir l’utiliser aussi. Ça ne sert pas seulement à vendre des cds ou à faire des concerts seulement mais il faut aussi apporter des aides aux gens qui nous aiment.  C’est un projet que nous devons mûrir.

Onassis Mutombo

 

 

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